Après avoir reçu, de 2001 à 2013, pas moins de 57 milliards d’euros d’aides européennes nettes et après avoir obtenu, en 2012, l’annulation pure et simple de 107 milliards d’euro de sa dette publique — la plus importante restructuration de dette jamais observée — l’État grec doit encore 312 milliards d’euros (174% de son produit intérieur brut en 2014) à ses créanciers. Sur ce total, 235 milliards (trois quarts de la dette publique grecque) ont été prêtés par la fameuse Troïka qui, en contrepartie de taux d’intérêt et d’échéanciers de remboursement particulièrement accommodants, exige d’Athènes une remise en ordre à marche forcée de ses finances publiques et de son économie.
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